- Strom'kar, le Brise-Guerre
- Niveau d'objet 750
- Lié quand ramassé
- Unique
- Épée
- Deux mains
- Vitesse 3.60
- 2642 – 3964 dégâts
- (917.5 dégâts par seconde)
- +511 Force
- +766 Endurance
- Augmente votre score de coup critique de +346
- Augment votre score de maîtrise de +332
Châsse de Relique de Sang
Châsse de Relique de Fer
Châsse de Relique d'Ombre
- Équipé : Confère la technique Brise-Guerre qui inflige des dégâts considérables dans une zone et rend les adversaires vulnérables.
- "Que l'acier du roi barbare porte le coup de grâce ! Que se taise à jamais le chant des armes ! Et que le premier royaume jouisse d'une ère de paix !"
Strom'kar, le Brise-Guerre est l'arme prodigieuse du guerrier Armes dans World of Warcraft: Legion.
Source[]
Strom'kar est obtenue lors de la quête : L'épée des rois.
Description[]
- Cet estramaçon accompagna au combat le seigneur de guerre barbare qui unifia pour la première fois l’humanité sous une même bannière, fondant ainsi la nation d’Arathor. Maître stratège et habile tacticien, le roi Thoradin joua par la suite un rôle déterminant dans la résolution des guerres trolles. Son épée fut ensuite perdue alors que son porteur tentait de soumettre une monstruosité c’thraxxi dans une tombe oubliée de Tirisfal. Abandonné à son triste sort, Stromkar a, au fil des millénaires, absorbé la puissance ténébreuse de cet endroit.[1]
Histoire[]
Strom'kar fait partie intégrante de l'histoire de l'humanité. Muni de cette lame, un seigneur de guerre visionnaire dénommé Thoradin réunit l'ensemble de sa race au sein d'une seule et même nation. Il mena son peuple à la victoire contre les trolls au cours de l'une des plus grandes guerres que les humains aient jamais livrées. Ce faisant, il infléchit de ses mains le destin du monde. L'épopée de Strom'kar est empreinte de violence et de massacre, mêlant ruse et désespoir, mais aussi bravoure et sacrifice.
Strom'kar, le Brise-Guerre, I
Les premières tribus humaines racontaient de nombreuses légendes consacrées aux géants qui auraient autrefois vécu à leurs côtés. S'ils portaient bien des noms, ces colosses étaient le plus souvent appelés "vrykuls". Veillant sur les peuplades primitives comme des parents sur leurs enfants, ils leur auraient enseigné les arts de la chasse et de la cueillette, de la maçonnerie et de la forge, et de la guerre.
Du temps du seigneur de guerre Thoradin, les vrykuls des terres humaines s'étaient éteints depuis longtemps, ne laissant derrière eux que des armes que les hommes conservaient précieusement, les considérant comme un héritage sacré et des symboles de leurs tribus. Mais la lame connu sous le nom de Strom'kar était promise à une toute autre destinée.
Entre les mains de Thoradin, elle devint l'emblème de l"humanité tout entière.
Strom'kar, le Brise-Guerre, II
Extrait du chapitre 8 de l'ouvrage "Le seul véritable royaume humain, par l'historien Llore :
"Alors même qu'elles subissaient les raids et pillages barbares des trolls amani, les tribus humaines étaient déchirées par des querelles intestines, dont seuls le seigneur de guerre Thoradin et sa tribu arathie voyaient l'inanité. Si les hommes en s'unissaient pas, les trolls extermineraient leur race et profaneraient ses terres ancestrales.
Thoradin se proclama donc roi et entreprit de discipliner les tribus désunies. Il en rallia plus d'une à sa cause en mariant ses fils et ses filles. A d'autres, il promit terres et richesses.
Mais certaines restèrent sourdes à ses avances. Celles-là ne connaissaient qu'un langage, celui de la violence.
Heureusement, Thoradin la maîtrisait parfaitement aussi."
Strom'kar, le Brise-Guerre, III
Des semaines durant, Thoradin et ses guerriers luttèrent pied à pied pour soumettre le farouche peuple des montagnes, les Alteraci. Bien qu'il fût confiant en sa capacité à mâter la tribu à terme, il savait que le coût d'une telle campagne serait terriblement élevé. Aussi, pour éviter des massacres inutiles, il changea de stratégie.
Il abandonna son armure et se fit peindre le torse de symboles arathis. Muni de Strom'kar pour seule arme, il gravit la montagne et provoqua Ignaeus, le chef des Alteraci, en duel.
Il ne fallut pas longtemps à Ignaeus pour surgir de la forêt, la peau rougie de ses propres marques tribales, lame en main et avide de carnage. Supérieur à son adversaire tant par la force que par la taille, l'Alteraci avait toutefois affaire à forte partie. En effet, Thoradin avait pris soin de prévoir le duel un jour où les brumes enveloppaient les montagne de leur linceul. Utilisant le brouillard à son avantage, il parvint à esquiver les redoutables coup d'Ignaeus et finit par le désarmer.
L'Alteraci se retrouva à sa merci, mais au lieu de lui porter le coup de grâce, il planta Strom'kar en terre et lui tendit la main en signe de paix, ralliant ainsi une nouvelle tribu à sa cause.
Strom'kar, le Brise-Guerre, IV
Dirigée par un illustre guerrier dénommé Lordain, la seule tribu humaine suffisamment puissante pour briser le rêve d'unité du roi Thoradin résidait alors dans les clairières de Tirisfal. Une simple démonstration de force ne suffisait pas à soumettre ce noble peuple. Pour s'assurer sa loyauté, Thoradin devrait appel à ses croyances religieuses.
Aussi lui et sa garde rapprochée entreprirent-ils un pèlerinage dans les sanctuaire et bosquets sacrés de la région. A chaque site, le roi se prêta à un certain nombre de rituels, comme le voulaient les traditions de Lordain et des siens. Il alla même jusqu'à porter un pendentif représentant la main d'argent, un symbole sacré aux yeux des humains de Tirisfal.
A la fin de son pèlerinage, Thoradin alla trouver Lordain et lui promit d'adopter sa religion et de convertir les Arathis si sa tribu acceptait de lui prêter allégeance. Pour preuve de sa bonne volonté, il se trancha la paume sur le fil de Strom'kar et mêla son sang à la terre de Tirisfal.
Si l'on en croit les récits de l'époque, il aurait déclaré : "Que ce sang soit le seul versé entre nos deux peuple."
Lordain et les siens se prosternèrent alors devant le roi Thoradin.
Strom'kar, le Brise-Guerre, V
Extrait du chapitre 14 de l'ouvrage "Le seul véritable royaume humain, par l'historien Llore :
"Thoradin et les autres seigneurs de guerre humains des âges primitifs considéraient leurs épées et haches comme des objets sacrés. Nombre d'entre eux croyaient que les esprits de leurs ancêtres survivaient dans leurs armes. Il est donc d'autant plus étonnant que Thoradin ait su convaincre tous les chefs de tribu de lui confier leurs lames.
Les forgerons arathis prélevèrent de fragments de métal sur chacune d'elles afin de les intégrer à l'estramaçon du roi. L'idée était brillante, car par ce geste, il s'assura l'indéfectible loyauté des tribus réunies. Qui aurait osé se rebeller contre lui au risque de heurter la lame abritant les esprits de ses ancêtres ?
L'ouvrage terminé, Thoradin renomma son épée Strom'kar, le Brise-Guerre."
Strom'kar, le Brise-Guerre, VI
Après avoir fédéré les tribus humaines, le roi Thoradin se mit en quête de l'endroit idéal où fonder une nouvelle capitale. Selon une légende, il trouva la réponse dans son sommeil. Une nuit, son père lui apparut en rêve, vêtu de la peau d'un loup noir, et lui parla d'une contrée aride au sud-est des clairières de Tirisfal. Il lui assura que s'il y érigeait sa capitale, son peuple connaîtrait une ère de prospérité.
Thoradin se lança aussitôt à la recherche de cette région, que l'on désigne aujourd'hui sous le nom de hautes-terres Arathies. Si l'on en croit la légende, il aurait aperçu un loup noir errant dans le désert, et, à cet endroit précis, aurait utiliser Strom'Kar pour tracer dans le sol les contours de sa ville. Puis il mit ses maçons au travail.
Ainsi fut fondée Strom, capitale incontestée du premier royaume humain.
Strom'kar, le Brise-Guerre, VII
Thoradin n'était pas homme à rester assis sur son trône, tout comme Strom'kar n'était pas une épée qu'on laisse dormir dans son fourreau.
L'armée arathie patrouillait sans relâche dans les confins des territoires humains, repoussant toute incursion des trolls amani. Le roi lui-même participa à nombre de ces escarmouches, souvent au péril de sa vie.
La légende évoque une embuscade particulièrement violente lors de laquelle les trolls mirent les humains en déroute, séparant le roi de ses troupes. Bien qu'à un contre dix, Thoradin ne prit pas la fuite, ni ne demanda grâce : une guerrier arathi digne de ce nom refuserait d’entacher ainsi son honneur.
Il affûta le tranchant de Strom'kar sur les crânes de ses ennemis et peignit sa lame de leur sang, et ses gardes le retrouvèrent foulant fièrement une pile de dix cadavres amani mutilés.
Strom'kar, le Brise-Guerre, VIII
Extrait du chapitre 29 de l'ouvrage "Les Tribus barbares et l'ascension d'Arathor", par l'historienne Evelyna :
"Pour vaincre les Amani, Arathor scella une alliance avec les hauts-elfes de Quel'Thalas. Le roi Thoradin mobilisa une armée de plus de vingt mille soldats humains et la lança à l'assaut des trolls. La bataille décisive eut lieu à la forteresse d'Alterac, alors assiégée par l'ost amani. Pendant que les humains s'efforçaient de défendre le bastion, les hauts-elfes frappèrent de plein fouet l'arrière-garde des trolls.
Flanqué du reste de ses hommes, Thoradin, Strom'kar au clair, se fraya un chemin à travers les hordes adverses, exterminant les trolls sur son passage. Lorsqu'il fut certain que ses forces avaient pris le dessus, il dévoila son arme secrète."
"Une centaine de mages humains surgirent alors de la forteresse d'Alterac. Unissant leurs pouvoirs à ceux des sorciers elfes, ils lancèrent sur les Amani un sort à la puissance dévastatrice. Une immense colonne de feu fendit les cieux pour s'abattre sur les trolls, qui furent réduits en cendres par un torrent de flammes crépitantes.
Ainsi s'achevèrent les Guerres trolles, scellant le triomphe des humains et des elfes réunis."
Strom'kar, le Brise-Guerre, IX
Après les Guerres trolles, Thoradin partit en mission diplomatique à Quel'Thalas afin de sceller définitivement le serment de loyauté unissant hommes et hauts-elfes. Il forgea un pacte militaire stipulant que les deux peuples s'entraideraient si les Amani menaçaient à nouveau leurs terres. Il redessina aussi les frontières avec les populations elfes et négocia des accords commerciaux visant à promouvoir la prospérité d'Arathor pour les générations à venir.
Avant qu'il ne quitte Quel'Thalas, les elfes lui offrirent un présent : leurs plus grands forgerons et enchanteurs s'unirent pour imprégner son arme d'une puissance extraordinaire. Leur chef d'oeuvre ne manqua pas d'émerveiller Thoradin. La nouvelle Strom'kar, plus légère qu'une plume, resplendissait d'une beauté naturelle et autant qu'il la malmenât, son tranchant ne s'émoussait jamais.
Strom'kar, le Brise-Guerre, X
Les années passèrent. Un jour, le roi vieillissant prit la décision d'abdiquer, mais dérogeant à la coutume, il conserva Strom'kar par-devers lui. Ses détracteurs furent prompts à le taxer de vénalité, mais ses raisons pour garder la lame étaient purement pratiques. Strom'kar étant devenue le symbole de la royauté, et en ne la transmettant pas, il asseyait la légitimité de sa lignée aux yeux des citoyens d'Arathor.
Libéré du fardeau du commandement, il consacra le plus clair de son temps à l'étude des ruines antiques des clairières de Tirisfal. Fasciné par les origines de l'humanité et par les récits décrivant des géants qui arpentaient autrefois notre monde, il apprit à se servir des enchantements de Strom'kar pour déceler des sanctuaires de puissance cachés.
Ce fut au cours de l'une de ces expéditions dans Tirisfal que Thoradin et son escorte pénétrèrent dans de mystérieuses catacombes. Si l'on en croit la légende, ils n'en ressortirent jamais.
Strom'kar, le Brise-Guerre, XI
La disparition de Thoradin donna lieu à bien des récits rivalisant d'excentricité, mais paradoxalement, la vérité réside dans le plus extravagant de tous. Au cœur des clairières de Tirisfal, le roi humain découvrit deux salles souterraines oubliées depuis des temps immémoriaux. L'une appartenait au noble gardien Tyr, l'autre à une abomination appelée Zakajz, serviteur sanguinaire des cruels Dieux très anciens.
Bien avant l'ère de l'écriture, Tyr s'était sacrifié pour vaincre Zakajz au cours d'un combat si violent qu'il avait ébranlé le cœur même d'Azeroth. Les alliés du gardien avaient ensuite enterré les deux adversaires sur le site de leur duel mythique, prenant bien soin de sceller la tombe à l'aide protections magiques afin d'empêcher quiconque de troubler leur repos.
Ignorant l'existence des terribles ténèbres confinées sous terres, Thoradin ordonna à ses mages de briser les sceaux. Par malheur, il y parvinrent... et leur magie arcanique ressuscita accidentellement Zakajz. Bien que l'immense créature décimât ses hommes, le roi ne prit pas la fuite, pas plus qu'il ne demanda grâce. Toujours guerrier arathi, il entendait défendre son honneur.
Il éprouva une dernière fois le tranchant de Strom'kar en la plongeant dans le crâne de Zakajz, et les enchantements elfiques de la lame précipitèrent le monstre dans un profond sommeil et l'empêchèrent de se régénérer.
Ce fut le dernier haut fait de Thoradin, car à l'instant même où il frappait, Zakajz lui infligeait une blessure mortelle. Ainsi périt le guerrier qui avait uni l'humanité, serrant dans son poing sa fidèle épée Strom'kar, maculée du sang de son dernier ennemi.
Traits d'arme[]
Technique | Rangs | Pouvoirs reliés |
---|---|---|
Sang vicié de Zakajz | 1 | Frappes précises |
Coups écrasants | 3 | Avance tactique ; Puissance de Thoradin ; Volonté du premier roi |
Coup définitif | 3 | Mesures défensives ; Défenses brisées |
Mesures défensives | 3 | Coup définitif ; Seul contre tous |
Abus de faiblesse | 3 | Défenses brisées ; Volonté du premier roi |
Focalisation au combat | 1 | Des morts comme s'il en pleuvait |
Des morts comme s'il en pleuvait | 3 | Focalisation au combat ; Frappes précises ; Rage interminable |
Seul contre tous | 3 | Mesures défensives ; Puissance de Thoradin ; Toucher de Zakajz |
Frappes précises | 3 | Sang vicié de Zakajz ; Des morts comme s'il en pleuvait ; Avance tactique |
Défenses brisées | 1 | Coup définitif ; Abus de faiblesse |
Avance tactique | 3 | Coups écrasants ; Frappes précises |
Puissance de Thoradin | 1 | Coups écrasants ; Seul contre tous ; Brise-Guerre |
Toucher de Zakajz | 3 | Seul contre tous ; Rage interminable |
Acier incassable | 20 | Aucun |
Rage interminable | 3 | Des morts comme s'il en pleuvait ; Toucher de Zakajz ; Enchaînement du Vide |
Enchaînement du Vide | 1 | Rage interminable |
Brise-Guerre | 1 | Puissance de Thoradin |
Volonté du premier roi | 1 | Coups écrasants ; Abus de faiblesse |
Trait caché : Encerclé par les Trolls!
Apparences[]
Classic[]
Achievement: Fighting with Style: Classic
Upgraded: Vengeance of the Fallen[]
Achievement: Fighting with Style: Upgraded
Valorous: Flamereaper[]
Achievement: Fighting with Style: Valorous
War-torn: Wrath's Edge[]
Achievement: Fighting with Style: War-torn (Alliance)/Fighting with Style: War-torn (Horde)
Hidden: Arcanite Bladebreaker[]
Achievement: Fighting with Style: Hidden
Changement dans un patch[]
Références[]
- ↑ Legion : Armes prodigieuses du guerrier (2015-10-23). Consulté le 2015-11-20.